Tiers-payant
6 bonnes pratiques pour optimiser votre gestion du tiers-payant
Entre la gestion des droits, les contrats des mutuelles et les échanges Inter-AMC, le tiers-payant peut rapidement devenir complexe et générer des erreurs. Pourtant, avec quelques bons réflexes, il est possible d’éviter la majorité des rejets.
Chez Julie, nous sommes d’ailleurs fiers d’afficher un taux de rejet inférieur à la moyenne nationale (Julie : 0.73% / moyenne nationale : 1.39%) une performance qui reflète notre travail continu pour améliorer nos outils et sécuriser vos échanges.
Parmi les principaux motifs observés, l’un des plus fréquents reste l’oubli du renseignement du numéro d’adhérent, un détail simple mais déterminant pour éviter les rejets.
Voici donc les bonnes pratiques à adopter pour gagner en sérénité au quotidien.
N°1 : Signer le contrat adhérent Inter-AMC
Pour pouvoir pratiquer le tiers-payant, le praticien doit impérativement, être conventionné avec les organismes complémentaires.
La solution Inter-AMC facilite grandement cette démarche : elle permet de se conventionner avec une grande partie des mutuelles existantes en une seule étape.
Sans ce conventionnement auprès d’Inter-AMC, il est nécessaire de se conventionner manuellement avec chaque mutuelle en les contactant au préalable, sans quoi, les mutuelles n’auront pas vos coordonnées et ne pourront donc pas vous rembourser.

N°2 : Lire la carte Vitale du patient
Un simple contrôle à la lecture de la carte Vitale (via l’ADRi) ou à la mise à jour des données peut éviter de nombreux rejets de factures. Cette vérification permet de s’assurer que les informations du patient (caisse, régime, parfois mutuelle, droits à jour, etc.) sont correctement enregistrées avant la création de la FSE et la télétransmission.
N°3 : Vérifier les droits du patient mutuelle
Avant toute facturation, assurez-vous que les droits du patient sont bien à jour. Beaucoup de mutuelle permettent de télécharger l’attestation via leur site ou via une application sur smartphone afin de bénéficier de la dernière version de l’attestation qui peut évoluer en cours d’année. A noter qu’il faut scanner la carte mutuelle du patient dans le dossier du patient afin de vérifier ses droits.
N°4 : Utiliser un lecteur compatible Datamatrix
Depuis la généralisation du QR code Datamatrix sur les cartes de tiers-payant, il est essentiel d’utiliser un lecteur compatible.
Ce type de lecteur permet de scanner les données mutuelles présentes sur la carte et de remplir automatiquement les informations dans le logiciel, afin d’éviter les erreurs de saisie manuelle et de gagner un temps précieux. Julie est entièrement compatible avec les lecteurs Datamatrix, pour une intégration fluide et sécurisée des données.
N°5 : Renseigner le numéro d’adhérent
Cette information, souvent négligée, est pourtant indispensable au bon remboursement par les organismes complémentaires. Elle se remplie automatiquement lors de la lecture du QR code, présent sur l’attestation mutuelle du patient.
Sinon vous pouvez la saisir en cliquant sur l’icone Datamatrix mutuelle puis saisir manuellement les informations et enfin remplir le champ ‘’N°adhérent’’.
Point infos : Remplir le « N’adhèrent, permet d’éviter rejets »


N°6 : Garder Julie à jour
Une bonne gestion du tiers-payant dépend aussi… de votre version de Julie !
Chaque mise à jour du logiciel intègre des améliorations techniques et des correctifs liés aux échanges avec Inter-AMC.
Assurez-vous d’avoir la dernière version installée pour profiter des fonctionnalités les plus récentes et d’une compatibilité optimale avec les organismes payeurs.
D’ailleurs, dans les dernières mises à jour, nous avons ajouté un lien d’accès direct depuis votre logiciel au portail des réclamations Inter-AMC, pour vous faire gagner du temps dans le traitement et le suivi de vos demandes.
En vérifiant les droits patients, en signant votre contrat Inter-AMC, en utilisant un lecteur Datamatrix et en maintenant votre logiciel à jour, vous fiabilisez vos remboursements et gagnez du temps au quotidien.

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